Termes d’Armagnac

Termes d’Armagnac

par | Déc 10, 2014 | Territoire

Sur la commune

Dominant la Vallée de l’Adour et de l’Arros, à l’extrémité occidentale du département du Gers, se dresse le village de Termes d’Armagnac  comme le confirme son patronyme le « terme », la limite des terres du Comté d’Armagnac.

Vers 1280, Jean d’Armagnac construisit sur une terrasse, dans un site superbe, un château à l’architecture austère. L’un des plus connu de ses habitants fut Thibault,  qui combattit aux côtés de Jeanne d’Arc devant Orléans en 1429 et témoigna à l’occasion de son procès en réhabilitation.

Aujourd’hui seul le donjon est resté, magnifique tour de pierres ocres de 36 m de hauteur, qui est un des plus remarquables spécimens de l’architecture militaire de la période gothique. Il appartient à la municipalité depuis 1961 (MH).

Adossée à cette tour une bâtisse datant du XVIIIème siècle a été transformée pour devenir la salle des Mousquetaires, très prisée pour les mariages et autres évènements. A proximité du château se situe l’église romane de Termes.

Un autel en bois doré, très décoré, surmonté d’un retable  XVIIIème (MH), orne le chœur. Il existe également sur le lieu dit de Monterran une double motte castrale, probablement l’emplacement du village primitif de Termes d’Armagnac. Ce site, situé sur le chemin de randonnée, est actuellement en face de développement scientifique, pédagogique et culturel.

Ce village est un pôle culturel important pour notre territoire où se déroulent de nombreuses animations tout au long de l’année et plusieurs festivals.

Verlus

Verlus

par | Déc 10, 2014 | Territoire

Sur la commune

De son lointain passé gallo-romain, Verlus à hérité de son nom de baptême et mis à l’abri des regard indiscrets ses sources thermales. Non sans concurrence à « Babaorum » les habitants de ce petit village ont gardé l’esprit résistant et combatif. Pour preuve : sur ses doux coteaux , vignobles anciens et élevages modernes fleurissent, sous l’œil bienveillant de sa petite église du XVIème siècle joliment rénovée et de son château témoin de l’époque médiévale, qui veille sur la commune comme un berger sur son troupeau.

Si cette ancienne station thermale romaine a malheureusement « perdu » ses sources, par contre le vignoble, récent, est dans la droite lignée de l’ancien, les vins blancs de Verlus cités au XVIIIème pour leur caractère particulier se vendaient alors quatre fois plus cher qu’aux alentours. Aujourd’hui, les agriculteurs verlusiens ont fait le choix de la démarche qualité et produisent en suivant les exigences de traçabilité : Bœuf de gascogne, Porc fermier, Caneton IGP, foie gras du Sud Ouest ; tout autant que la production de semences maïs fourragères et potagère Soja de pays : non OGM.

Le Climat ensoleillé a permis l’installation de serres de plantes exotiques utilisées pour de la décoration intérieure dans nos grands hôtels français entre autre, et la production de fruits et légumes écologiques dont les saveurs font l’unanimité des grands chefs de la région.

Aujourd’hui la proximité de la future autoroute et des villes telles que Pau et Tarbes met notre petite commune au défi
d’accueillir de nouveaux habitants. La population actuelle de Verlus très diversifiée, fait de ce petit village un endroit dynamique et convivial aussi accueillant que ses coteaux verdoyants et boisés.

  1. L’église Saint joseph du XVIIème siècle, d’architecture classique, et fort bien entretenu elle possède de très beaux vitraux
  2.  Le château du XVIème siècle de style gascon. Précédé d’une vaste cour et de communs au rez-de-chaussée, il présente un corps de logis d’un seul étage coiffé d’un grand toit couvert de tuiles creuses, la porte qui s’ouvre dans une travée toscane surmontée d’un fronton échancré conserve les proportions et le décor du XVIIème siècle
  3.  Entreprise spécialisée dans la culture de plantes tropicales ornementales, palmiers et autres plantes à fleurs et fruits exotiques : ouverte à la visite
Viella

Viella

par | Déc 10, 2014 | Territoire

Sur la commune

Fleuri et accueillant, ce village dispose de tous les commerces et services essentiels : boulangerie, épicerie, boucherie, tabac, presse, essence, salon de coiffure, etc., une école pour les enfants de la maternelle et élémentaire, un médecin, une pharmacie, la poste.

La commune de VIELLA est également dotée d’installations sportives : une piscine ouverte les mois d’été, un terrain de foot qui accueille les équipes locales et un terrain de tennis disponible toute l’année. Commune essentiellement rurale, elle offre sur ses coteaux verdoyants, un paysage de vignobles qui donne naissance à des vins d’appellation aux riches parfums de terroir. Nous connaissons évidemment le Madiran qui est un vin rouge tannique et charpenté, mais aussi et surtout le Pacherenc, ce vin blanc moelleux qui fait merveille à l’apéritif ou avec le foie gras.
On ne peut pas parler de Viella sans évoquer le Pacherenc de la Saint-Sylvestre. En effet, on le sait depuis longtemps dans la région, ce vin se vendange tard dans la saison. Déjà, un édit de 1745 interdisait de récolter avant le 4 novembre. Aujourd’hui, la vendange s’effectue par tries successives. Les raisins produisent alors ce rare vin liquoreux et de belle ampleur dont les arômes de miel, d’épices, de fruits exotiques font merveille en dégustation et réjouissent les bons connaisseurs.
Sous l’impulsion et la volonté de tous les bénévoles de l’association « les amis du Pacherenc de la Saint-Sylvestre » et avec le partenariat des Producteurs Plaimont, tout le village se retrouve le 31 décembre à la lueur des torches. Chacun est convié à cueillir les dernières grappes confites et à déguster le Pacherenc au cours d’un grand réveillon festif, précédé d’une pastorale en l’honneur de la civilisation de la vigne avec bénédiction solennelle des fruits du terroir en l’église Saint-Pierre.
Par le biais de nombreuses associations socioculturelles et sportives, les Viellanais, soucieux de maintenir une animation et de faire vivre leur village, organisent, tout au long de l’année diverses manifestations (fête locale, théâtre, randonnées pédestres, galas de danse, football, concours de pétanque et de quilles, randonnées 4 x 4).

VIELLA, avec 555 habitants, est une commune qui s’étend sur une superficie de 2 800 hectares. Cette localité rurale bénéficie d’une situation géographique privilégiée : VIELLA se trouve à 10 kilomètres de Riscle (chef lieu de canton), à proximité des départements des Pyrénées-Atlantiques, des Hautes-Pyrénées et des Landes, des gares SNCF de Pau et Tarbes. Le village de VIELLA est d’un accès facile, situé à 40 km de l’aéroport PAU et proche de la future liaison autoroutière PAU BORDEAUX.

Goux

Goux

par | Déc 10, 2014 | Territoire

Sur la commune

La commune de Goux a souhaité se joindre aux douze autres communes dans la création de la communauté de communes afin de préserver et de satisfaire les besoins de sa population. Ensemble nous pourrons prétendre au maintien des services que nous ne pourrions obtenir seuls et une meilleure gestion avec de réelles compétences pour des difficultés administratives grandissantes.

Limitrophe du département des Hautes Pyrénées, la commune de Goux se place dans un joli cadre de coteaux boisés, dominant la plaine de l’Adour, ses méandres et ses barthes. D’une superficie de 550 hectares, elle est traversée par les routes départementales 935 vers Tarbes et les Pyrénées et 136 vers Viella.

Autrefois renommée pour la qualité de ses vins rouges, elle a su grâce à la bonne exposition de ses terres, harmoniser ses productions agricoles entre la polyculture, les céréales, l’élevage, les produits fermiers et la vigne qui bénéficie des vertus d’un terroir proche de Madiran.

Fustérouau

Fustérouau

par | Déc 10, 2014 | Territoire

Sur la commune

La commune est le résultat du regroupement d’Arparens et de Fusterouau en 1822. En dehors d’un groupe de maisons au village, l’habitat est très dispersé.

La commune possède deux églises :

  1. l’église Saint Jean Baptiste du XIème et XIIéme siècle
  2. l’église Saint Michel d’Arparens du XIème et XIIème siècle.

la commune est issue du regroupement d’Arparens et de Fustérouau en 1822. En dehors d’un groupe de maisons au village, l’habitat est très dispersé. Il y avait à Fustérouau, des mariais que les guérisons auraient rendus célèbres, on s’y rendait de loi pour la Saint-Léon ; près du lieu de l’ancien pèlerinage, se trouve une fontaine dévotion.